Eh bien moi, c’était l’inverse.
Je déballe l’aile, je me retrouve d’abord face à de jolis emmêlements : ma bête noire !
Au bout de longues minutes, jarrive à tout démêler.
C’est parti pour le réglage des freins. Je suis les instructions, ça parait pas mal, on teste !
Et là, je dois avouer que je m’en suis fait peur, je ne m’attendais pas à une telle puissance de l’aile. Elle gonfle d’un coup sec face au vent, j’ai cru partir avec, il s’en est fallu de peu pour que le backpack s’envole sans même avoir le temps de tester les freins.
Je parviens difficilement à la reposer au sol. Frein à fond, ça gonfle malgré tout, même si plus timidement. Je règle à nouveau les freins, cette fois-ci c’est bon, l’aile ne gonfle plus.
Pour autant, j’ai pas osé tenter le vol. Le vent était capricieux avec des bourrasques, pour une première ça me semblait trop risqué de tenter dans de telles conditions. Pour être franc, j’avais peur de ne plus jamais toucher terre si je lâchais l’engin. Je préfère tenter une prochaine fois avec moins de vent.
Par contre, une fois l’aile gonflée et bien en l’air, c’est normal que malgré l’actionnement des freins ça continue de tirer, même si c’est moins franchement ?